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Mesures de biosécurité contre la peste porcine africaine

Compte tenu de ses propriétés hautement contagieuses et de l’absence de traitements ou de vaccins efficaces, la peste porcine africaine (PPA) est l’une des maladies épidémiques les plus redoutées dans les exploitations porcines. Il est donc primordial de mettre en œuvre des mesures de biosécurité efficaces contre la PPA. Une planification adéquate, des procédures bien définies, une formation sur mesure et des outils appropriés permettent de réduire considérablement le risque de contamination. Suivez le guide !

Une planification déterminante

Il est avant tout vivement recommandé de passer au crible votre protocole de biosécurité actuel, à tous les niveaux. Gardez toujours à l’esprit l’ensemble des risques possibles lorsque vous abordez la question de la biosécurité. Tout au long de la planification, tenez compte du vétérinaire, de la direction et de votre propre personnel. Assurez-vous qu’ils ne sont pas employés par d’autres exploitations. Les consultants, les membres de la direction et le personnel itinérant présentent des risques accrus, car ils voyagent d’une exploitation à l’autre.

Le transport est un autre facteur important pour les élevages de bétail. Veillez à ce que les camions qui entrent sur votre site n’aient pas préalablement circulé dans des exploitations (potentiellement) contaminées. La livraison et l’importation d’équipements doivent être planifiées, au même titre que l’enlèvement des cadavres, du fumier et des autres déchets. Revoyez également le contrôle des bêtes sauvages, des nuisibles et autres animaux.

Des procédures pour une protection optimale

En l’absence de clôtures, les sangliers, cochons, cerfs et renards sauvages peuvent aisément se frayer un chemin dans votre exploitation. Veillez donc à installer une barrière ou une clôture sécurisée en bordure de votre propriété pour empêcher ces visiteurs indésirables d’y accéder. Notez que cette mesure doit être appliquée dans l’ensemble de l’exploitation, y compris entre l’embarcadère et la bétaillère, entre le côté souillé et le côté propre d’un système d’accès ou entre le sol et la cabine d’un transport de fourrage. Toutes les lignes de démarcation pertinentes doivent être identifiées et des procédures correctes doivent être établies pour atteindre et utiliser ces délimitations.

Mais ce n’est pas tout. De nombreuses autres procédures doivent être respectées. Épinglons l’utilisation correcte des douches ; les procédures correctes en cas d’aller-retour sur le terrain ; le nettoyage et la désinfection des équipements entrants ; la désinfection après le passage de véhicules à risque à proximité de l’exploitation ou encore l’observation du comportement des entrepreneurs et du personnel pendant le ramassage du fumier.

Parmi les exemples de procédures correctes au sein d’une exploitation contaminée, où les risques ont été identifiés, on peut citer le contrôle des mouvements du personnel autour de l’exploitation ; le nettoyage et la désinfection réguliers des allées après le déplacement des porcs ; l’élimination correcte du fumier et des résidus de fumier ou encore le nettoyage et la désinfection approfondis entre les tournées.

Pour finir, une règle essentielle vaut tout au long du protocole : qu’il s’agisse de transport, de personnel ou d’équipement, n’échangez jamais rien entre les exploitations contaminées et non contaminées.

Formation et outils

La formation de la direction, du personnel, des chauffeurs et des visiteurs fait partie intégrante de tout programme de biosécurité. Chaque membre de l’équipe doit être conscient de l’importance des mesures de biosécurité contre la PPA. Chaque collaborateur doit comprendre à quel point le virus se propage facilement pour comprendre l’importance de ses actes.

Les responsables de la biosécurité doivent donc suivre une formation, une évaluation et un recyclage, le cas échéant. L’un des principaux défis dans ce contexte consiste à sensibiliser et à mettre l’accent sur la nécessité de se tenir au courant des évolutions. À ce titre, le respect des engagements est crucial. Leur non-respect aura tôt ou tard des répercussions sur l’ensemble du programme de biosécurité.

Un programme de biosécurité optimal passe aussi par les bons outils. Puisque les véhicules sont le principal vecteur de propagation de la PPA, il est essentiel de disposer d’un emplacement de nettoyage et de désinfection des camions digne de ce nom. Les systèmes de lavage et de désinfection des roues permettent, par exemple, de retirer aisément le fumier sur place, et d’éviter ainsi la contamination croisée.

Les portiques de désinfection ou les systèmes de désinfection montés sur les roues des camions sont d’autres exemples d’outils de biosécurité efficaces. Les roues des véhicules qui entrent sur le site ou en sortent sont immédiatement désinfectées. RinDis se fera un plaisir de vous épauler dans ce domaine !

Vous souhaitez en savoir plus sur ces systèmes de nettoyage et de désinfection ? Nous serons ravis de vous exposer en détail les différentes possibilités qui s’offrent à vous.  Contactez-nous !

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